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Kadioğlu, un K d’école
Kadioğlu aurait réglé pas mal de problèmes chez les latéraux des Oranje !
Kadioğlu aurait réglé pas mal de problèmes chez les latéraux des Oranje !
Rodriguez, Schär, Shaqiri, Xhaka, Zuber : une bande de saisonniers illustrent l’esprit de cette Nati.
Étincelant avec Manchester City, l’ailier est méconnaissable en sélection.
La France est en demies sans leaders au top ? Pas un souci, d’autres ont pris le relais.
Pour une fois, cela tourne du bon côté.
Et si tout s’était arrêté, que serait-il resté ?
2004-2024, this is the end ?
Avec Maignan, Koundé et même Kolo Muani à ce niveau, que peut-il nous arriver ?
Si les Bleus de Deschamps se mettent à gagner aux tirs au but, maintenant…
Dani Olmo a plané.
Une lutte homérique, et à la fin, c’est l’Espagne qui gagne.
L’ancien Rennais Romain Salin a été le coéquipier de six Portugais présents à l’Euro. Il raconte.
Rendez-nous le Kylian Mbappé version 2018, tout fin, tout léger et dévastateur dans la profondeur.
La discrétion n’est pas un vilain défaut quand on est gardien.
Vitinha va vouloir rappeler que le meilleur Parisien joue au Portugal.
La solution pour éliminer les Bleus d’une grande compète ? Une prolong’ ou des tirs au but. Bon courage.
S’il existe un domaine qui symbolise l’apport des binationaux à la grandeur du pays, c’est bien le foot.
Rappelons-le : Antoine Griezmann est moins uruguayen que portugais.
Quatre sélectionneurs argentins dirigent les quatre nations en forme de la Copa América.
Le patron du café Franz Morish à Leipzig a joué en Bundesliga sous les ordres de Jürgen Klopp.
Cette fois, les Bleus ont travaillé les tirs aux buts. Pour quel résultat ?
Chouchou ou casse-tête, telle est la question.
Le Mister brille indirectement via ses Rossoblù présents au tournoi.
Les Oranje ont un nouveau patron et il sévit encore sur l’aile.
Un international palestinien raconte son calvaire.
Les petits mouchoirs, version portugaise.
Sans Rabiot, tout est moins beau ?
Gordon Banks s’est réincarné et s’appelle désormais Mert Günok.